Je joins l'article de SO.
Comme tous les inconditionnels du GP, Laclau-Lacrouts nous la joue nostalgie en invoquant le prestige passé du GP comme prétexte pour le conserver. Ils n'ont bien plus que ça à se mettre sous la dent. Si à son époque il pouvait espérer un autographe de Trintingnant, un des plus grand pilotes de son époque, aujourd'hui "on" (enfin, pas moi, hein) en est réduit à espérer l'autographe d'un de ces people genre Dechavanne qui vient passer le WE au GP de Pau pour s'amuser au volant d'une bagnole qu'un sponsor lui offre bien volontier ! Il faut qu'il ouvre les yeux le Laclau-Lacrouts ! Pour un amateur de sport auto, confondre Trintignant et Dechavanne ça la fout mal !
Dans cet article il est quand même réjouissant de lire ça:
Bernard Laclau-Lacrouts laisse entendre que les partisans du « non » prennent un poids considérable. « Il est question de l'arrêter », regrette l'élu. « On dit que ça pollue, mais un Grand Prix, ça ne consomme pas plus qu'un avion qui décolle de Pau pour Paris ! »
André Duchateau, de son côté, reconnaît bien volontiers la valeur patrimoniale de la manifestation. Mais le premier adjoint trouve, dans l'actualité, des raisons de réfléchir à deux fois. L'actualité, c'est en effet la crise qui amène des marques à se retirer de la compétition. « Il faut voir l'intérêt sportif à venir de la manifestation. » Et puis, le Grand Prix, « ça coûte 1,6 million d'euros par an à la Ville. Alors, à un moment donné, il faut être raisonnable et voir où sont les priorités.
Ca bouge ! Le Grand Prix n'est plus tabou ! Le discours anti-GP franchit les portes du conseil municipal

! Allez, soyons optimiste, le GP n'en a peut-être plus pour longtemps, continuons à le mettre sur la selette...
Par contre tout le passage sur la "journée verte" entre les deux GP, c'est vraiment pipeau et ripolinage vert...